Trois Madeleine.

Dans les deux conférences de 85 et 92, Jacques-Edouard termine son exposé avec les trois Madeleine, mais il les présente dans un ordre exactement inversé ! En 85, il commence par la Madeleine Wrightsman et termine avec la Madeleine Fabius. En 92, dans une conclusion non moins magistrale que la première, il termine avec la Madeleine Wrightsman, que précédaient la Terf et la Fabius.

Ce dilemme est résolu par la présentation simultanée des trois tableaux. Ils occupent ainsi trois cadres dans votre écran, comme trois absides, trois naos, d'un temple égyptien, hindou ou roman...

Un cadre horizontal, comme un transept marque un dernier seuil avant ce trio final sur lequel se conclue la visite.